fin de semaine bien remplie

Vendredi nous avions organisé une JA avec visite de l'expo de la Gobinière à Orvault qui comportait une sélection du concours France Patchwork "dentelles et kimonos" ainsi que des oeuvres toujours aussi spectaculaires que raffinées de l'invitée d'honneur Ina Georgetta Statescu.

Un petit aperçu :

le défilé de mode de Nicole Dibusi

la participation d'Ina au concours dentelles et kimonos

un des jolis tableaux textiles d'Ina

détail

 

Le détail permet de voir vraiment la qualité de travail ! Impressionnant ! et soigné jusqu'aux plus petits détails.

Pour la JA, les visites se faisant par petits groupes (nous étions plus de 70 tout de même !), chaque participante a reçu un kit permettant de réaliser une petite boîte textile, dont voici mon exemplaire, que j'avais déjà fait auparavant. Je n'ai pas eu le temps de prendre de photos pendant les travaux de ces dames, car j'étais occupée à animer l'atelier "chiku-chiku", technique employée pour 2 faces de la boîte. Les deux autres faces comportaient chacune un carré de Tasmanie (difficile pour moi qui ne suis pas très tradi !).

Et pour finir, une adhérente m'a fait un joli petit cadeau :

En fait c'est un dessous de plat en silicone. J'en ai déjà utilisé avec ma gelli plate, en tant que masque, mais je n'avais pas ce motif ! Super sympa !!!

Mais la semaine n'était pas finie ! Hier, samedi visite à "Fils Croisés" à Cholet. Nous étions plusieurs de la délégation et en avons profité pour faire de petits stages dans l'après-midi. Personnellement j'ai opté pour Mari-Christine Hourdebaigt qui fait des tableaux remarquables avec des textiles mais aussi une quantité d'autres matières, dont des matières qui fondent, se trouent, etc....

Nous avons travaillé avec du feutre synthétique et du lutradur, ainsi qu'un décapeur thermique.

C'est intéressant de voir combien la démarche de chaque artiste est différente, tout en employant des matériaux identiques au départ.

Je mettrai une photo de mon "oeuvre" quand je l'aurai un peu fignolée. C'est difficile de finir quelque chose quand on n'a que 2 heures, et de plus avec une machine qu'on ne connaît pas. Franchement j'aime mieux la mienne pour le piqué libre, surtout quand il y des sur-épaisseurs ! et pourtant c'étaient des machines d'une marque très réputée dans le milieu du patch... Nous n'avions peut-être pas les accessoires ad hoc...Une des oeuvres de l'expo de Marie-Christine.